Swiss Agency for Development and Cooperation: Evaluation externe de l’approche « Zones de convergence » et du « Programme d’Energie pour l’Emploi en Milieu Rural » (PEEMIR).

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Swiss Agency for Development and Cooperation

 

Swiss Agency for Development and Cooperation: Evaluation externe de l’approche « Zones de convergence » et du « Programme d’Energie pour l’Emploi en Milieu Rural » (PEEMIR).

Organization

Swiss Agency for Development and Cooperatio

Pour soumettre: bukavu@eda.admin.ch

Posted

13 Jun 2025

Closing date

11 Jul 2025

Introduction

Le présent document définit les exigences relatives au mandat d’évaluation sur l’approche des zones de convergences appliquée par la Coopération Suisse au Sud Kivu et le projet PEEMIR, ainsi que la procédure et les critères de sélection.

 

Le cahier des charges définit le but, le contexte, les objectifs (y compris des questions indicatives d’évaluation), la portée et la méthodologie proposée pour l’évaluation. Il décrit en outre le processus d’évaluation et les réalisations attendues. Le cahier des charges fera partie intégrante du contrat relatif au mandat d’évaluation.

Call for Tenders: Implementation of the DRC Phone Survey 2025, Flowminder Foundation

Informations générales et contexte de l’évaluation

Contexte :

La République Démocratique du Congo (RDC) est le deuxième plus grand pays d’Afrique en termes de superficie, une taille comparable à celle de l’Europe occidentale. Elle se classe également parmi les pays les plus peuplés du continent, avec une population estimée à 113 millions d’habitants en 2025. Le pays est doté de ressources naturelles exceptionnelles, dont des minéraux stratégiques tels que le cobalt, le lithium et le cuivre, mais aussi un potentiel hydroélectrique considérable. En outre, la RDC possède des terres arables vastes, une biodiversité unique et la deuxième plus grande forêt tropicale du monde, après l’Amazonie.

 

Malgré cette richesse naturelle, la RDC figure parmi les nations les plus pauvres d’Afrique. Selon l’Indice de développement humain des Nations Unies pour 2024, le pays est classé 180e sur 193 nations. Actuellement, environ trois congolais sur quatre vivent avec moins de 2,15 dollars par jour. Bien que la RDC dispose de 55 % des réserves en eau douce de l’Afrique et de 13 % du potentiel hydroélectrique mondial, seulement 19 % de sa population a accès à l’électricité et 34% à l’eau potage en 2024[1]. De plus, seulement 29 % des habitants bénéficient d’installations sanitaires améliorées. Cette situation, combinée à des conditions de vie précaires, est un facteur majeur de la malnutrition et des problèmes de santé publique, responsables de la moitié des décès d’enfants de moins de cinq ans. En 2025, l’ONU prévoit que 21 millions de personnes auront besoin d’aide humanitaire en raison des conflits armés, de l’insécurité alimentaire et des épidémies.

 

Depuis plusieurs décennies, la Suisse soutient la RDC par le biais de son aide au développement et de son aide humanitaire. Elle est présente dans l’est du pays depuis 2009, et son programme de coopération pour la période 2021-2025 couvre l’ensemble de la région des Grands Lacs, comprenant la RDC, le Rwanda et le Burundi. Ce programme s’articule autour de trois axes principaux : 1) la gouvernance, la protection des civils et la prévention des conflits ; 2) la santé et la nutrition ; et 3) l’emploi et le développement économique. En RDC, l’intervention suisse se concentre particulièrement sur l’est du pays, dans les provinces du Nord et Sud Kivu ainsi que l’Ituri.

 

Dans le cadre du programme RDC 2026-2029, actuellement en préparation, la Suisse souhaite mettre l’accent sur trois priorités majeures : 1) la protection des civils et la prévention des conflits ; 2) la résilience économique et la sécurité alimentaire ; et 3) l’amélioration de la santé et des services de base. Le pilier sur la résilience économique et la sécurité alimentaire vise à renforcer la capacité de résilience des populations vulnérables, en particulier celles affectées par les déplacements forcés dus aux conflits, en mettant un accent particulier sur les femmes et les personnes déplacées. La sécurité alimentaire et la relance du secteur agricole seront favorisées par des programmes ciblant l’amélioration des capacités des petits producteurs, la diversification des récoltes agricoles et l’augmentation de la productivité.

 

Ce programme met également en place des initiatives visant à améliorer les perspectives économiques des populations locales, telles que : a) le renforcement des compétences professionnelles des jeunes, adaptées aux exigences du marché local ; b) le soutien à l’entrepreneuriat et à la génération de revenus ; et c) l’amélioration de l’accès des producteurs locaux aux moyens de production (comme l’électricité et le crédit) et aux marchés (notamment par le biais de routes et d’infrastructures). De plus, l’engagement avec le secteur privé sera encouragé lorsque des opportunités spécifiques se présenteront, afin de stimuler davantage la croissance économique locale et d’améliorer les conditions de vie.

 

Concept zones de convergences :

L’opérationnalisation du nexus humanitaire, développement et paix en RDC a pris forme depuis 2019 par l’identification des zones stratégiques de convergence, notamment à Bunyakiri et Idjwi, où, les trois instruments de la coopération Suisse en RDC – à savoir l’humanitaire, le développement et la paix – sont déployés à travers divers projets mis en œuvre dans la même zone géographique. Une troisième zone de convergence ciblée était les hauts plateaux de Fizi, mais l’insécurité permanente dans cette zone n’a pas permis le déploiement des actions envisagées.

 

L’objectif de cette approche est de favoriser l’intégration et la complémentarité des actions menées, afin d’optimiser l’impact et l’efficacité des interventions. En combinant ces différents instruments, il s’agit non seulement de répondre aux besoins immédiats des populations vulnérables, mais aussi de renforcer leur résilience à long terme, tout en contribuant à la stabilité et à la consolidation de la paix dans ces régions fragiles. L’hypothèse de développement à la base de cette approche est que l’intervention combinée des trois instruments permet de créer des synergies entre les acteurs et les projets, d’optimiser l’utilisation des ressources et d’assurer un développement durable, inclusif et à fort impact – une approche holistique qui ne répond pas seulement aux symptômes mais qui adresse les causes structurelles de la pauvreté dans ces zones marginales. La liste des projets par zone de convergence est dans l’annexe 1.

 

Projet PEEMIR :

Le Programme Energie pour l’Emploi en Milieu Rural (PEEMIR) vise à contribuer à la lutte contre la pauvreté en promouvant l’entrepreneuriat local, le développement des activités économiques, la création d’emplois et la génération des revenus. En effet, le taux de pauvreté dans les zones rurales du Sud Kivu est de 75,7%, alors qu’elle dispose de plusieurs potentialités économiques qui ne sont pas suffisamment exploitées. Devant un tel manque de perspective économique, plusieurs jeunes se tournent vers les groupes armés, alimentant les conflits meurtriers qui ont entrainé plusieurs millions de mort depuis 1996.

 

Pour remédier à cette situation et promouvoir une dynamique de développement durable, le programme PEEMIR agit sur trois axes : 1° Production et distribution de l’électricité visant à faciliter l’accès des opérateurs économiques (PME’s) locaux à une énergie économiquement accessible et durable, 2° Développement économique et entrepreneuriat à travers l’injection de revenus immédiats (cash for work) pour les jeunes avec possibilité d’épargner une partie pour l’investir dans des activités productives durables, le développement du secteur financier local (AVEC[2] et MUSO[3]), la formation professionnelle des jeunes dans les métiers artisanaux et l’accompagnement des entreprises de transformation et de services ; et 3° la Réhabilitation des routes de desserte agricole pour relier les zones de production aux zones de transformation/commercialisation.

 

Les principaux bénéficiaires sont les femmes, les jeunes et les populations vulnérables de deux zones de convergence (zone de santé de Bunyakiri en territoire de Kalehe et chefferie de Rubenga en territoire d’Idjwi) des programmes de la DDC. Une attention particulière est portée aux jeunes sortis des groupes armés afin de consolider la paix dans les zones du projet. Il faut noter que jusque maintenant le volet électricité n’a pas encore été pleinement mis en œuvre, excepté un appui accordé à l’extension du réseau électrique de Bitale à Bunyakiri dans le cadre d’un projet du PNUD. La cible principale de ce volet est constituée par les unités de transformation agroalimentaire et les ateliers de métiers artisanaux.

 

Objectif, portée et orientation de l’évaluation

But et objectifs

Cette évaluation a pour objectif, d’une part, d’évaluer l’impact, les résultats, ainsi que les avantages et les inconvénients de l’approche « zones de convergence » pour les projets de la Coopération Suisse en RDC, et d’autre part, d’évaluer les résultats atteints dans le projet PEEMIR et de proposer des pistes stratégiques pour une prochaine phase de ce projet qui permettra de mettre à échelle (scale up) les résultats atteints (phase 1 et crédit d’ouverture). L’évaluation doit observer les critères du CAD de l’OCDE[4] : pertinence, cohérence, efficacité, efficience, impact et durabilité.

 

Portée

L’ampleur et la profondeur de l’évaluation seront déterminées par les questions indicatives auxquelles l’évaluation cherche à répondre (voir chapitre ci-après). L’évaluation portera sur le but et les objectifs indiqué sous 3.1. La période est limitée de 2019 à 2024. 2019 correspond en effet au début de la réflexion sur le Nexus à Bunyakiri et la structuration de l’approche « zone de convergence ». Elle correspond également au début de la phase d’ouverture du programme PEEMIR à Bunyakiri et à Idjwi. L’étendue géographique correspond aux deux zones de convergence, à savoir la zone de santé de Bunyakiri en territoire de Kalehe et la chefferie Rubenga en territoire d’Idjwi, le tout dans la province du Sud Kivu.

 

Situation sécuritaire et défis de mise en œuvre

L’est de la RDC traverse une crise sécuritaire depuis trois décennies : une centaine de groupes armés (nationaux et étrangers) s’y disputent de vastes territoires qu’ils attisent et alimentent en conflits ethniques, politiques et économiques pour le contrôle des territoires et des ressources minières. Suite à une offensive lancée en janvier 2025 au Nord-Kivu ayant entraîné la chute de Goma, le groupe rebelle M23 a pris le contrôle de la ville de Bukavu ainsi que de certaines entités de la province du Sud-Kivu. Depuis lors, tout le territoire d’Idjwi, dont fait partie la chefferie de Rubenga, est sous son contrôle, tandis que la zone de santé de Bunyakiri est sous le contrôle des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), soutenues par des milices locales regroupées au sein du mouvement Wazalendo. Ces milices sont considérées comme des forces de réserve pour l’autodéfense et sont alliées au gouvernement de Kinshasa. La sécurité à Idjwi ne pose actuellement aucun problème majeur, mais la situation est précaire et imprévisible à Bunyakiri : il faut d’abord traverser une zone sous contrôle des forces rebelles du M23 et plusieurs barrières des FARDC et des Wazalendo pour pouvoir y accéder, et des affrontements ont lieu régulièrement dans plusieurs villages.

 

Malgré ce contexte, une évaluation reste possible, notamment par le biais de consultants locaux qui disposent déjà d’une certaine connaissance des zones concernées. Il faut en outre noter que la majorité des personnes clés pour la zone de Bunyakiri se trouvent actuellement à Bukavu ou sont accessibles à distance, quel que soit leur lieu de résidence actuel.

 

La procédure d’évaluation de la zone de Bunyakiri doit donc être planifiée de manière flexible et éventuellement être menée à distance si la situation sécuritaire ne permet pas de se rendre sur place.

 

Questions d’évaluation indicatives / domaine d’intervention prioritaire

Au cours de la phase initiale, l’équipe d’évaluation, en accord avec le Bureau de la Coopération Suisse en RDC, doivent affiner et hiérarchiser les questions qui sont structurées selon les critères du CAD de l’OCDE. L’équipe d’évaluation est également tenue de répondre à ces questions dans le cadre de l’offre technique.

 

Pertinence:

 

L’approche de zone de convergence est-elle adéquate et pertinente dans le contexte actuel du Sud Kivu en particulier ?

Les objectifs et les interventions dans le projet PEEMIR répondent-ils aux priorités et aux besoins des groupes cibles, et permettent-ils de développer/relancer l’économie dans les zones d’intervention ?

Cohérence:

 

Dans quelle mesure l’approche de zone de convergence est-elle compatible avec les objectifs stratégiques de la DDC en RDC et ses partenaires de mise en œuvre ?

Dans quelle mesure les interventions du projet PEEMIR sont-elles compatibles avec les approches/interventions d’autres acteurs présents dans les zones d’intervention ?

Efficacité:

 

L’approche de zone de convergence est-elle efficace ? A-t-elle permis de créer un effet de synergie entre les projets et une meilleure coordination des interventions dans les zones d’intervention ?

Dans quelle mesure les résultats escomptés du projet PEEMIR ont-ils été atteints/ou sont susceptibles de l’être en termes de produits (outputs), de réalisations (outcomes), et d’objectifs généraux de l’intervention ?

Efficience:

 

L’approche de zone de convergence est-elle efficiente ? A-t-elle permis aux partenaires de faire des économies (de temps, de ressources, et autres) dans la mise en œuvre de différents projets ? Les partenaires ont- ils appris les uns des autres ?

Les interventions du projet PEEMIR sont-elles mises en œuvre de manière efficiente ?

Impact:

 

L’approche de zone de convergence a-t-elle permis d’obtenir un impact plus important qu’avec la mise en œuvre isolée de mêmes projets dans différentes régions ?

Est-ce que l’approche a permis d’adresser les causes structurelles et profondes du sous-développement et de la pauvreté ?

Quels effets positifs et durables du projet PEEMIR peuvent être identifiés ? Pourrait-on faire autrement pour obtenir de meilleurs impacts dans les zones d’intervention ?

Durabilité:

 

Quelles indications montrent que les effets produits persisteront après la fin du projet PEEMIR ?

Quelles mesures institutionnelles, écologiques, financières ou techniques pourraient être mises en œuvre pour augmenter les chances que l’intervention du projet PEEMIR produise un impact plus durable ?

Processus et méthodes d’évaluation

Méthodologie de l’évaluation

L’équipe d’évaluation doit proposer au Bureau de la Coopération Suisse en RDC une méthodologie adaptée à l’objectif de cette évaluation, qui sera ensuite validée par ce dernier.

 

Rôles et responsabilités de l’évaluateur ou des évaluateurs

L’évaluation sera menée par une équipe composée d’un ou des consultants international/aux accompagné/s d’un/des consultant/s local/aux. La responsabilité globale sera confiée au consultant international, lequel agira comme chef d’équipe. Le consultant international aura un contrat avec la DDC et, en tant que chef d’équipe, sous-traitera avec le/s consultant/s local/aux. Le consultant international rendra des comptes à la DDC via le Bureau de la Coopération Suisse en RDC à Bukavu.

 

Processus et calendrier d’évaluation

Le programme ci-après suggère des dates, des responsabilités et les ressources nécessaires pour les différentes activités du processus d’évaluation. Au besoin, l’équipe d’évaluation l’adaptera pendant la phase de lancement, en accord avec le Bureau de la Coopération Suisse en RDC (BuCo).

 

Appel d’offre: 10.06.2025 – 11.07.2025

Contractualisation: 30.07.2025

Réunion de lancement avec l’équipe d’évaluation: 12.08.2025

Entretiens avec les parties prenantes, les partenaires et, le cas échéant, groupe de discussion et ateliers, étude documentaire, etc.: 13.08.2025 – 22.08.2025

Préparation du rapport initial : objectifs et questions de l’évaluation, conception de l’évaluation, méthodologie: 25.08.2025 – 29.08.2025

Projet de rapport initial: 01.09.2025

Retour d’informations sur le rapport initial par le BuCo: 05.09.2025

Finalisation du rapport initial (intégration des commentaires du BoCo): 08.09.2025 – 11.09.2025

Version finale du rapport initial: 12.09.2025

Préparation logistique et administrative pour la collecte de données, les ateliers d’évaluation, les visites sur le terrain, etc.: 15.09.2025 – 26.09.2025

Mission sur le terrain pour collecte de données, entretiens, ateliers d’évaluation, etc.: 29.09.2025 – 09.10.2025

Débriefing à Bukavu ou virtuelle: 10.10.2025

Analyse des données et préparation du rapport d’évaluation: 13.10.2025 – 23.10.2025

Rapport d’évaluation – version préliminaire: 24.10.2025

Retour d’informations sur le rapport d’évaluation préliminaire par le BuCo: 04.11.2025

Rapport d’évaluation – version finale: 14.11.2025

Prise de position de la DDC: 28.11.2025

Le calendrier sera discuté avec le(s) consultant(s), mais le travail sera effectué sur une période d’environ 4 mois pour un maximum de 30 jours de travail.

 

Réalisations attendues

Les produits ci-après sont attendus :

 

Le rapport initial comprend généralement :

 

Description de l’intervention ;

 

Résumé des documents analysés ;

 

Méthodologie d’évaluation (y compris ses points forts et ses limites) et les questions d’évaluation ;

 

Cadre analytique pour répondre aux questions d’évaluation avec des rubriques ou des barèmes qui seront utilisés pour apprécier les informations, les sources de données et la collecte, l’échantillonnage et les indicateurs clés ;

 

Calendrier ;

 

Résultats de la première série d’entretiens et de l’examen documentaire ;

 

Première liste des personnes interrogées ;

 

Premières constatations (le cas échéant) ;

 

Proposition de structure du rapport d’évaluation.

 

Le rapport initial est normalement requis après la première phase des entretiens, de l’analyse des documents et de l’organisation des visites sur le terrain, mais avant l’étude de terrain proprement dite. Il doit être remis au plus tard à un tiers de la période d’évaluation totale (généralement dix pages maximum).

 

Atelier de débriefing

 

Après la mission sur le terrain, les consultants doivent organiser un atelier de

débriefing afin d’exposer les premières constatations, de discuter et recevoir les commentaires des parties prenantes au projet. Cet échange d’informations aidera à rédiger le rapport d’évaluation.

Rapport d’évaluation (préliminaire et final):

 

Le rapport doit être rédigé en français, structuré de manière logique, et présenter des constatations factuelles, des conclusions, des enseignements et des recommandations ainsi que leurs corrélations. Toutes les informations qui ne sont pas pertinentes pour l’analyse globale figurent dans une annexe. Le rapport doit répondre en détail aux questions d’évaluation et se concentrer sur les domaines d’intervention prioritaires. Il doit comprendre un ensemble de six à dix recommandations spécifiques, et identifier les actions requises, les personnes qui doivent les mettre en œuvre et un éventuel calendrier (le cas échéant).

 

Nous recommandons que le rapport d’évaluation ne dépasse pas 20 pages[5],

synthèse (2-3 pages) comprise, mais sans les annexes. Le rapport doit contenir des références claires aux informations/données importantes disponibles dans les annexes.

 

Proposition de structure du rapport d’évaluation :

 

Page de garde

Table des matières

Acronymes et abréviations

Remerciements

Synthèse

Introduction

Constatations, y compris résultats

Conclusions

Recommandations

Annexes (obligatoires)

Cahier des charges

Grille d’analyse dûment remplie

Liste complète des parties prenantes et autres personnes consultées et interviewées

Description détaillée du processus d’examen, y compris sources de données et éventuelles faiblesses et limites méthodologiques

Grille d’analyse remplie: Lien

 

L’équipe d’évaluation est tenue de fournir une grille d’analyse des critères du CAD dûment remplie. Cette grille doit être

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